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  • : Le blog de Roger Eléfant
  • : Chercheur indépendant, je suis passionné par les grands mystères de notre planète depuis plus de 40 ans. Poussé par la curiosité, je me suis déplacé en premier lieu au Mexique, puis au Pérou et en Bolivie. J'ai eu ainsi la chance de trouver les réponses que j'attendais; elles m'ont conduit également vers d'autres pistes. Je sais maintenant que l'Histoire nous a raconté des histoires !
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25 août 2013 7 25 /08 /août /2013 13:25

(Tous droits réservés)

 
 
 
Les Basques sont un peuple « à part » et ceci pour de multiples raisons...
 
 
Voici en premier lieu, un résumé de ce que « l’Histoire officielle » nous apprend sur les Basques avec les particularités qui leur sont propres, dont voici justement un exemplaire ci-dessous, avec la "Svastika", que les Basques appellent curieusement "Lauburu".
 
 
 
"Svastika" posée dans le jardin d'un membre de ma famille
Photo Roger Eléfant
 
 
A propos de ce symbole peu ordinaire, je donnerai d’autres détails (un plus loin dans le texte), car il est d’une certaine importance, dans la recherche de l’étrange origine des Basques.
 
 
Tout d’abord, il faut préciser que le Pays Basque est constitué de 7 provinces, qui se situent en partie, au sud-ouest de la France à cheval sur les Pyrénées Atlantiques ; avec ses 3 provinces : le Labourd, la Basse Navarre et la Soule et l'autre partie en Espagne avec ses 4 provinces : la Biscaye, l’Alava, la Guipuzcoa et la Navarre.
 
Ci-dessous, la carte du Pays Basque en entier :
 
 
Dessin Roger Eléfant
 
 
 
Voici les particularités "traditionnellement admises" pour les Basques
 
 
1e) Leur origine est inconnue, aussi bien des historiens, que des préhistoriens, que des archéologues et même des ethnologues (pourtant spécialistes de la provenance et de l'évolution des sociétés).
.
2e) Leur langue « l’euskara » est la seule langue non-indoeuropéenne d’Europe.
 
3e) Leur sang est majoritairement du groupe « O » avec un Rh négatif et une forte fréquence de l’haplogroupe R1b (toutes caractérisques très rares en Europe); seuls les Irlandais, les Gallois et les Ecossais ont des caractéristiques approchantes.
 
4e) Leur "type physiologique" est majoritairement du type « Cromagnoïde ».
 
 
* *
 
 
Voici maintenant les éléments et arguments que les historiens ne connaissent pas
(ou ne veulent pas connaitre...)
 
 
 
Ces "éléments" sont extraits de différentes sources et des ouvrages figurant en fin d'article ou comme dans le livre ci-dessous, à propos de l'Atlantide :
 

CayceAtlantis

 

Cet ouvrage est sans doute, l'un des meilleurs livres sur l'Atlantide (écrit par le fils d'Edgar Cayce (*) mais il est en anglais !

 
Cette liste d’éléments et d'arguments prend en compte, en premier lieu :
 
 
- Les informations extraites des « lectures » d’Edgar Cayce concernant les émigrations des Basques (côté européen). Ces informations seront recoupées par autant d’éléments que je pourrais trouver pour corroborer le mieux possible ses dires.
 
(*) Pour ce nom, voir mes autres articles sur le blog, mais je peux toutefois préciser ici que :
 
- Selon Edgar Cayce, les émigrations des Atlanters se firent par trois foissoit :
 
1e) - en 50772 av. J.C. (date précise, à cause d'une terrifiante explosion de gaz souterrains).
 
2e) - en 28000 av. J.C.
 
3e - entre 11000 et 10000 av. J.C.
 
 
Ces trois émigrations eurent lieu à cause des trois grandes catastrophes qui ont endeuillé l'Atlantide.
 
 
 
Dans le petit livre ci-dessous édité par l'A.R.E., sont exposées les émigrations des Atlantes et des Muiens, avec des "représentations graphiques".
 

Migration

 

Dans ce livret, on trouve principalement le récit des émigrés du continent de Mu, vers le Pérou, le Mexique et l'Amérique du Nord avec les constructeurs des "Mound builders", mais il est en anglais.

 
 
* *
 
 
1e élément :
 
 
Selon Edgar Cayce en 50772 av. J.C. une réunion internationale eut lieu pour éradiquer les grands animaux (les dinosaures) qui causaient beaucoup de dégâts dans les cultures et faisaient de nombreux morts dans les diverses populations du globe.
 
A cette époque,… les hommes durent affronter les grands animaux qui pullulaient sur la Terre avec l’emploi de forces destructrices (les explosifs). Les feux des autels commencèrent à être détournés de leur but pour brûler ceux des animaux qui avaient été attrapés de diverses façons. Et de là, on en arriva aux sacrifices humains. C’est ce qui provoqua la première émigration vers les Pyrénées d’abord. Et, depuis celle-ci, beaucoup plus tard, vers ce qui devint l’Egypte. « Lecture » 364-3).
 
(Il s'agit là, de la 1ere émigration, juste avant la première et gigantesque catastrophe).
 
 
2e élément :
 
 
(L’entité était parmi les Enfants de la Loi de Un. De son métier, mathématicien, c’est lui qui effectua les calculs préparatoires à ces voyages dans les Pyrénées, qui se faisaient par air…) etc. (« Lecture » 2677-1).
 
(A ce sujet, on ne peut savoir à quelle période cette émigration a eu lieu, car selon Cayce, la technologie des Atlantes a évolué, des ballons dirigeables, jusqu'aux vaisseaux spatiaux, types "ovnis").
 
 
3e élément :
 
 
L’entité vivait en Atlantide, à l’époque où beaucoup se préparaient à partir ; la catastrophe était imminente, à cause des basses intrigues des Fils de Bélial, adversaires des Enfants de la Loi de Un. L’entité était un expert dans ces engins de transport qui permirent à une partie des Atlantes de s’échapper vers d’autres pays, comme par exemple, les Pyrénées (« Lecture » 815-2).
 
(les "engins de transport" sont probablement une référence à des engins volants...).
 
 
4e élément :
 
 
(L’entité)… à fait des voyages au Yucatan, dans les Pyrénées et en Egypte. Car les transports, les voyages et les communications se faisaient par des engins aériens, comme ceux qu’Ezéchiel décrira plus tard… ("Lecture" 1859-1).
 
(là, c'est clair, il parle bien d'engins aériens, donc de type "ovnis" !).
 
 
5e élément :
 
 
…C’est ainsi que nous retrouvons l’entité dans ces groupes qui abordèrent d’abord dans les Pyrénées, ensuite l’Egypte.. L’entité, Enfant de la Loi de Un, utilisait les énergies appelées aujourd'hui les énergies naturelles, c’est-à-dire l’électricité, pour la propulsion d’engins, aussi bien que pour les usages de la vie quotidienne. ("Lecture" 1998-1).
 
(Même l'électricité était employée comme énergie propre !).
 
 
6e élément :
 
 
(l’entité était) …parmi ceux qui arrivèrent d’abord dans ce qui est aujourd’hui le pays pyrénéen et plus tard alla en Egypte où l’activité était déjà florissante depuis des années. ("lecture" 662-2 du 26 juin 1935).
 
 
7e élément :
 
 
…On découvrira des preuves de l’existence de cette civilisation disparue dans les Pyrénées et au Maroc, d’une part, au Honduras britannique, au Yucatan et en Amérique, d’autre part. ("lecture" 364-3 du 16 février 1932).
 
(Qui aura la chance de découvrir ces preuves au Pays Basque ! ?)
 
 
8e élément :
 
 
…Quand les Enfants de la Loi de Un comprirent que les terres de Poséidia (**) allaient être définitivement englouties, beaucoup de chefs émigrèrent vers des pays étrangers divers. ("lecture" 1007-3 du 26 juin 1938)).
 
(**) Poséidia fut la dernière capitale de l’Atlantide avant l'engloutissement final, et donc pour moi, il s'agit probablement de la dernière émigration).
 
 
9e élément :
 
 
(Dans une vie antérieure, le consultant qui vivait)… en Atlantide durant les périodes de destructions du pays, s’est embarqué pour l’Egypte mais est arrivé dans les Pyrénées, qui sont maintenant en terre française et espagnole. A Calais (*), on peut encore voir les marques sur les falaises de craie, des compagnons de l’entité qui tentaient de créer un temple (**) et un centre d’activité pour les fidèles de la Loi de Un, etc… ("lecture" 315-4 du 13 juin 1934).
 
(*) : En fait, mes recherches m'ont conduit à penser, qu'il ne s’agissait pas de « Calais » en France, mais de la « Galice » en Espagne ! !
 
A propos de cette confusion, "Calais-Galice", il faut savoir que Cayce endormi sous auto-hypnose (pendant ses « lectures ») parlait parfois un anglais approximatif..., avec une prononciation souvent difficile à comprendre par sa secrétaire Gladys ou sa femme Gertrude qui prenaient les notes (que l’on a appelé ses « lectures »). Ce qui fait, que la secrétaire a sans aucun doute confondu le nom de «Calais» (en France) avec «Galice» en Espagne, qui en anglais ont une prononciation relativement voisine !
 
 
(**) : J'explique également plus loin, que je me suis spécialement intéressé à l'endroit de la Galice où ces émigrés avaient commencé à construire un temple; et je crois avoir découvert ce lieu !).
 
 
D’autre part, tous les autres éléments fournis dans ses « lectures » concordent pour une localisation du débarquement (au moins dans un premier temps) dans les falaises de Galice en Espagne et non à Calais en France !
 
 
A ce sujet, qui est d’une grande importance dans l’hypothèse que soutiennent quelques auteurs « sur l’origine atlante des Basques » (et que je soutiens aussi) voici quelques éléments fort intéressants du site Internet :
 
L’Histoire du pèlerinage Saint Jacques de Compostelle ", signé par Gonzalo Lopez, avec une petite partie sous titrée. 
 
Il s'agit d'une théorie sur des origines plus anciennes, dont je rapporte (à ma manière et en les commentant en italique) les 5 points suivants :
 
 
1- Le Chemin de Compostelle en Espagne est orienté d’Est en Ouest, en direction de la Voie Lactée ; il est appelé de ce fait « le Chemin des étoiles ». (Y aurait-il un rapprochement à faire avec ce qu'Edgar Cayce nous a enseigné avec "l'Humanité venue des étoiles", il y a fort longtemps...?).
 
 
2- Pas très loin du supposé "tombeau de l’Apôtre" (je précise, pour ma part, que ce tombeau se trouve tout de même à 150 km environ, à St Jacques de Compostelle...), se situent les côtes torturées du Cap Finisterre, là où la tradition indique qu’aurait accosté le bateau transportant la dépouille de "Saint Jacques". Ce cap s'avance dans l’Atlantique (vers le Sud) et est le but ultime du pèlerinage, pour certains pèlerins, après être passés par Santiago.
 
 
3- Une tradition locale indique que cet endroit (le Cap Finisterre) aurait été "un lieu magique"...
 
 
4- De plus, sur le Cap Finisterre fut construit la chapelle Santa Maria das Areas...
 
 
5- Les Romains en arrivant en Galice ont découvert sur le Cap Finisterre "un autel" qui aurait été consacré au Soleil (l’Ara Solis). Selon une légende locale, les substructions ou pierres de cet autel, auraient été érigées par les anciens peuples habitant les lieux longtemps avant eux...
 
 
Note : A n’en pas douter, et comme d’habitude, l’Eglise s’est approprié ce lieu (le Cap Finisterre) pour le christianiser...
 
 
 
Tous ces éléments mis bout-à-bout, me conduisent à penser, que cet endroit du bout-du-monde, "la Finis Terrae", soit : "la fin de la Terre" (comme l'appelaient les Romains), c'est-à-dire : le "Cap Finisterre" en Galice espagnole, est l’endroit où les émigrés Atlantes accostèrent, puis s’installèrent dans l’arrière pays dans un premier temps, pour aller (probablement un peu plus tard) jusqu'à St Jacques de Compostelle).
Ils émigrèrent ensuite (et définitivement) vers le Pays Basque et les hautes montagnes sécurisantes des Pyrénées.
 
 
En fait, il avait pu se produire après chaque catastrophe, quelques raz-de-marée à retardement ayant pu submerger les falaises, pourtant assez hautes de la Galice.
 
 
Voici ci-dessous le "Cap Finisterre" de Galice :
 
 
Dessin Roger Eléfant
 
Ce cap se prolonge assez loin en mer vers le Sud, protégeant ainsi des grandes vagues de l'Océan, la baie située à l'Est (à sa droite), permettant un débarquement en sécurité.
 
 
10e élément :
 
La langue basque « l’euskara » qui est unique au Monde, est plus ancienne que le Latin. Toutefois, tout en étant unique, elle est vaguement apparentée à la langue des Guanches et des Berbères de l'Atlas (ce qui n'est pas étonnant), à l’Egyptien primitif (ce qui n’est pas étonnant non plus), à l’Etrusque, au Géorgien, au Tibétain primitif, et selon l’historien et philologue Hyacinthe de Charencey, à quelques langues des Indiens d'Amérique, dont principalement : les Delawares, les Chippeways et les Iroquois du Canada.
De plus, c’est une langue « agglutinante » (ce qui est plutôt rare); c’est-à-dire, qu’elle peut résumer toute une phrase en un seul mot !
 
 
11e élément :
 
La couleur rouge. En effet, c'est une particularité basque, que l’on retrouve un peu partout dans le pays.
Par exemple : les gens qui possèdent une maison peignent assez souvent toutes les boiseries en rouge foncé. La tradition indique que les "Anciens" badigeonnaient les boiseries avec du "sang de bœuf" pour les protéger des insectes et des intempéries…
 
 
Note : Pour ma part, j’ai un doute à ce sujet, car le sang (de bœuf ou autre) n’est pas spécialement connu pour avoir des caractéristiques "insecticides" ! Je pencherais plutôt pour une attirance "atavique" (c'est-à-dire mettant en cause les "chromosomes-mémoire" sur la couleur rouge, qui selon Cayce était celle de la peau des Atlantes (en fait : rouge cuivrée).
 

Rédiger Activité Statistiques Premium Gérer Une nouvelle fonctionnalité a été ajoutée pour augmenter l'inscription à vos newsletters et donc votre trafic. Consulter notre article pour en savoir plus. Rédiger un nouvel article ou une page LES BASQUES SONT DES ATLANTES http://atlantide-mu.over-blog.com/ 2016/01/les-basques-sont-des-atlantes.html Ajouter une section ici FormatPoliceTaille (Tous droits réservés) Les Basques sont un peuple « à part » et ceci pour de multiples raisons... Voici en premier lieu, un résumé de ce que « l’Histoire officielle » nous apprend sur les Basques avec les particularités qui leur sont propres, dont voici justement un exemplaire ci-dessous, avec la "Svastika", que les Basques appellent curieusement "Lauburu". "Svastika" posée dans le jardin d'un membre de ma famille Photo Roger Eléfant A propos de ce symbole peu ordinaire, je donnerai d’autres détails (un plus loin dans le texte), car il est d’une certaine importance, dans la recherche de l’étrange origine des Basques. Tout d’abord, il faut préciser que le Pays Basque est constitué de 7 provinces, qui se situent en partie, au sud-ouest de la France à cheval sur les Pyrénées Atlantiques ; avec ses 3 provinces : le Labourd, la Basse Navarre et la Soule et l'autre partie en Espagne avec ses 4 provinces : la Biscaye, l’Alava, la Guipuzcoa et la Navarre. Ci-dessous, la carte du Pays Basque en entier : Dessin Roger Eléfant Voici les particularités "traditionnellement admises" pour les Basques 1e) Leur origine est inconnue, aussi bien des historiens, que des préhistoriens, que des archéologues et même des ethnologues (pourtant spécialistes de la provenance et de l'évolution des sociétés). . 2e) Leur langue « l’euskara » est la seule langue non-indoeuropéenne d’Europe. 3e) Leur sang est majoritairement du groupe « O » avec un Rh négatif et une forte fréquence de l’haplogroupe R1b (toutes caractérisques très rares en Europe); seuls les Irlandais, les Gallois et les Ecossais ont des caractéristiques approchantes. 4e) Leur "type physiologique" est majoritairement du type « Cromagnoïde ». * * Voici maintenant les éléments et arguments que les historiens ne connaissent pas (ou ne veulent pas connaitre...) Ces "éléments" sont extraits de différentes sources et des ouvrages figurant en fin d'article ou comme dans le livre ci-dessous, à propos de l'Atlantide : CayceAtlantis Cet ouvrage est sans doute, l'un des meilleurs livres sur l'Atlantide (écrit par le fils d'Edgar Cayce (*) mais il est en anglais ! Cette liste d’éléments et d'arguments prend en compte, en premier lieu : - Les informations extraites des « lectures » d’Edgar Cayce concernant les émigrations des Basques (côté européen). Ces informations seront recoupées par autant d’éléments que je pourrais trouver pour corroborer le mieux possible ses dires. (*) Pour ce nom, voir mes autres articles sur le blog, mais je peux toutefois préciser ici que : - Selon Edgar Cayce, les émigrations des Atlanters se firent par trois fois, soit : 1e) - en 50772 av. J.C. (date précise, à cause d'une terrifiante explosion de gaz souterrains). 2e) - en 28000 av. J.C. 3e - entre 11000 et 10000 av. J.C. Ces trois émigrations eurent lieu à cause des trois grandes catastrophes qui ont endeuillé l'Atlantide. Dans le petit livre ci-dessous édité par l'A.R.E., sont exposées les émigrations des Atlantes et des Muiens, avec des "représentations graphiques". Migration Dans ce livret, on trouve principalement le récit des émigrés du continent de Mu, vers le Pérou, le Mexique et l'Amérique du Nord avec les constructeurs des "Mound builders", mais il est en anglais. * * 1e élément : Selon Edgar Cayce en 50772 av. J.C. une réunion internationale eut lieu pour éradiquer les grands animaux (les dinosaures) qui causaient beaucoup de dégâts dans les cultures et faisaient de nombreux morts dans les diverses populations du globe. A cette époque,… les hommes durent affronter les grands animaux qui pullulaient sur la Terre avec l’emploi de forces destructrices (les explosifs). Les feux des autels commencèrent à être détournés de leur but pour brûler ceux des animaux qui avaient été attrapés de diverses façons. Et de là, on en arriva aux sacrifices humains. C’est ce qui provoqua la première émigration vers les Pyrénées d’abord. Et, depuis celle-ci, beaucoup plus tard, vers ce qui devint l’Egypte. « Lecture » 364-3). (Il s'agit là, de la 1ere émigration, juste avant la première et gigantesque catastrophe). 2e élément : (L’entité était parmi les Enfants de la Loi de Un. De son métier, mathématicien, c’est lui qui effectua les calculs préparatoires à ces voyages dans les Pyrénées, qui se faisaient par air…) etc. (« Lecture » 2677-1). (A ce sujet, on ne peut savoir à quelle période cette émigration a eu lieu, car selon Cayce, la technologie des Atlantes a évolué, des ballons dirigeables, jusqu'aux vaisseaux spatiaux, types "ovnis"). 3e élément : L’entité vivait en Atlantide, à l’époque où beaucoup se préparaient à partir ; la catastrophe était imminente, à cause des basses intrigues des Fils de Bélial, adversaires des Enfants de la Loi de Un. L’entité était un expert dans ces engins de transport qui permirent à une partie des Atlantes de s’échapper vers d’autres pays, comme par exemple, les Pyrénées (« Lecture » 815-2). (les "engins de transport" sont probablement une référence à des engins volants...). 4e élément : (L’entité)… à fait des voyages au Yucatan, dans les Pyrénées et en Egypte. Car les transports, les voyages et les communications se faisaient par des engins aériens, comme ceux qu’Ezéchiel décrira plus tard… ("Lecture" 1859-1). (là, c'est clair, il parle bien d'engins aériens, donc de type "ovnis" !). 5e élément : …C’est ainsi que nous retrouvons l’entité dans ces groupes qui abordèrent d’abord dans les Pyrénées, ensuite l’Egypte.. L’entité, Enfant de la Loi de Un, utilisait les énergies appelées aujourd'hui les énergies naturelles, c’est-à-dire l’électricité, pour la propulsion d’engins, aussi bien que pour les usages de la vie quotidienne. ("Lecture" 1998-1). (Même l'électricité était employée comme énergie propre !). 6e élément : (l’entité était) …parmi ceux qui arrivèrent d’abord dans ce qui est aujourd’hui le pays pyrénéen et plus tard alla en Egypte où l’activité était déjà florissante depuis des années. ("lecture" 662-2 du 26 juin 1935). 7e élément : …On découvrira des preuves de l’existence de cette civilisation disparue dans les Pyrénées et au Maroc, d’une part, au Honduras britannique, au Yucatan et en Amérique, d’autre part. ("lecture" 364-3 du 16 février 1932). (Qui aura la chance de découvrir ces preuves au Pays Basque ! ?) 8e élément : …Quand les Enfants de la Loi de Un comprirent que les terres de Poséidia (**) allaient être définitivement englouties, beaucoup de chefs émigrèrent vers des pays étrangers divers. ("lecture" 1007-3 du 26 juin 1938)). (**) Poséidia fut la dernière capitale de l’Atlantide avant l'engloutissement final, et donc pour moi, il s'agit probablement de la dernière émigration). 9e élément : (Dans une vie antérieure, le consultant qui vivait)… en Atlantide durant les périodes de destructions du pays, s’est embarqué pour l’Egypte mais est arrivé dans les Pyrénées, qui sont maintenant en terre française et espagnole. A Calais (*), on peut encore voir les marques sur les falaises de craie, des compagnons de l’entité qui tentaient de créer un temple (**) et un centre d’activité pour les fidèles de la Loi de Un, etc… ("lecture" 315-4 du 13 juin 1934). (*) : En fait, mes recherches m'ont conduit à penser, qu'il ne s’agissait pas de « Calais » en France, mais de la « Galice » en Espagne ! ! A propos de cette confusion, "Calais-Galice", il faut savoir que Cayce endormi sous auto-hypnose (pendant ses « lectures ») parlait parfois un anglais approximatif..., avec une prononciation souvent difficile à comprendre par sa secrétaire Gladys ou sa femme Gertrude qui prenaient les notes (que l’on a appelé ses « lectures »). Ce qui fait, que la secrétaire a sans aucun doute confondu le nom de «Calais» (en France) avec «Galice» en Espagne, qui en anglais ont une prononciation relativement voisine ! (**) : J'explique également plus loin, que je me suis spécialement intéressé à l'endroit de la Galice où ces émigrés avaient commencé à construire un temple; et je crois avoir découvert ce lieu !). D’autre part, tous les autres éléments fournis dans ses « lectures » concordent pour une localisation du débarquement (au moins dans un premier temps) dans les falaises de Galice en Espagne et non à Calais en France ! A ce sujet, qui est d’une grande importance dans l’hypothèse que soutiennent quelques auteurs « sur l’origine atlante des Basques » (et que je soutiens aussi) voici quelques éléments fort intéressants du site Internet : L’Histoire du pèlerinage Saint Jacques de Compostelle ", signé par Gonzalo Lopez, avec une petite partie sous titrée. Il s'agit d'une théorie sur des origines plus anciennes, dont je rapporte (à ma manière et en les commentant en italique) les 5 points suivants : 1- Le Chemin de Compostelle en Espagne est orienté d’Est en Ouest, en direction de la Voie Lactée ; il est appelé de ce fait « le Chemin des étoiles ». (Y aurait-il un rapprochement à faire avec ce qu'Edgar Cayce nous a enseigné avec "l'Humanité venue des étoiles", il y a fort longtemps...?). 2- Pas très loin du supposé "tombeau de l’Apôtre" (je précise, pour ma part, que ce tombeau se trouve tout de même à 150 km environ, à St Jacques de Compostelle...), se situent les côtes torturées du Cap Finisterre, là où la tradition indique qu’aurait accosté le bateau transportant la dépouille de "Saint Jacques". Ce cap s'avance dans l’Atlantique (vers le Sud) et est le but ultime du pèlerinage, pour certains pèlerins, après être passés par Santiago. 3- Une tradition locale indique que cet endroit (le Cap Finisterre) aurait été "un lieu magique"... 4- De plus, sur le Cap Finisterre fut construit la chapelle Santa Maria das Areas... 5- Les Romains en arrivant en Galice ont découvert sur le Cap Finisterre "un autel" qui aurait été consacré au Soleil (l’Ara Solis). Selon une légende locale, les substructions ou pierres de cet autel, auraient été érigées par les anciens peuples habitant les lieux longtemps avant eux... Note : A n’en pas douter, et comme d’habitude, l’Eglise s’est approprié ce lieu (le Cap Finisterre) pour le christianiser... Tous ces éléments mis bout-à-bout, me conduisent à penser, que cet endroit du bout-du-monde, "la Finis Terrae", soit : "la fin de la Terre" (comme l'appelaient les Romains), c'est-à-dire : le "Cap Finisterre" en Galice espagnole, est l’endroit où les émigrés Atlantes accostèrent, puis s’installèrent dans l’arrière pays dans un premier temps, pour aller (probablement un peu plus tard) jusqu'à St Jacques de Compostelle). Ils émigrèrent ensuite (et définitivement) vers le Pays Basque et les hautes montagnes sécurisantes des Pyrénées. En fait, il avait pu se produire après chaque catastrophe, quelques raz-de-marée à retardement ayant pu submerger les falaises, pourtant assez hautes de la Galice. Voici ci-dessous le "Cap Finisterre" de Galice : Dessin Roger Eléfant Ce cap se prolonge assez loin en mer vers le Sud, protégeant ainsi des grandes vagues de l'Océan, la baie située à l'Est (à sa droite), permettant un débarquement en sécurité. 10e élément : La langue basque « l’euskara » qui est unique au Monde, est plus ancienne que le Latin. Toutefois, tout en étant unique, elle est vaguement apparentée à la langue des Guanches et des Berbères de l'Atlas (ce qui n'est pas étonnant), à l’Egyptien primitif (ce qui n’est pas étonnant non plus), à l’Etrusque, au Géorgien, au Tibétain primitif, et selon l’historien et philologue Hyacinthe de Charencey, à quelques langues des Indiens d'Amérique, dont principalement : les Delawares, les Chippeways et les Iroquois du Canada. De plus, c’est une langue « agglutinante » (ce qui est plutôt rare); c’est-à-dire, qu’elle peut résumer toute une phrase en un seul mot ! 11e élément : La couleur rouge. En effet, c'est une particularité basque, que l’on retrouve un peu partout dans le pays. Par exemple : les gens qui possèdent une maison peignent assez souvent toutes les boiseries en rouge foncé. La tradition indique que les "Anciens" badigeonnaient les boiseries avec du "sang de bœuf" pour les protéger des insectes et des intempéries… Note : Pour ma part, j’ai un doute à ce sujet, car le sang (de bœuf ou autre) n’est pas spécialement connu pour avoir des caractéristiques "insecticides" ! Je pencherais plutôt pour une attirance "atavique" (c'est-à-dire mettant en cause les "chromosomes-mémoire" sur la couleur rouge, qui selon Cayce était celle de la peau des Atlantes (en fait : rouge cuivrée). Ajouter une section ici NormalPolice20 A ce propos, il y a probablement à faire un rapprochement avec les Indiens d'Amérique, qui se teignaient la peau en rouge pour les cérémonies, et que l'on a appelé de ce fait : "les Peaux-Rouges" ! Voici ci-dessous, une maison basque typique, dont toutes les boiseries sont peintes en rouge sombre : Photo Roger Eléfant Et voici ci-dessous, un café (ou auberge) du côté d'Espelette, avec des boiseries typiquement basques également. Photo Roger Eléfant En outre, il est à remarquer que le drapeau basque comporte "un fond rouge", surmonté d’une croix verte et d’une croix blanche. Pour les fêtes publiques, les hommes ont l’habitude de porter des vêtements blancs avec des bérets rouges et des ceintures de flanelle rouges. Les femmes portent des robes blanches avec un corsage rouge. Dans le folklore basque, existe un "génie féminin" très populaire appelé curieusement "Mari" (sans "e"); c'est la reine de tous les génies. Elle a la curieuse aptitude, de se transformer en "vache rouge" ! En outre, elle habite dans l'intérieur de la Terre, dans des endroits qui communiquent avec la surface par des cavernes et des crevasses. (un étrange rappel à la Terre creuse...!?). D’autre part, et cet élément est très important, car au Pays Basque, on a retrouvé des squelettes de Cro-Magnons saupoudrés justement "d’ocre rouge" ! 12e élément : La Pelote basque est un sport très prisé dans tout le pays, qui se joue de différentes manières, mais le jeu original, se pratique avec une balle assez dure, que les joueurs frappent avec la paume de la main et qu'ils envoient rebondir contre un fronton. Or, à Uxmal au Yucatan, dans les ruines Mayas, on peut voir une aire de jeux de pelote, où se dressent deux frontons se faisant face, à une quinzaine de mètres de distance, afin que la balle rebondisse sur les deux murs. Il semble donc qu'il y a là, un rapprochement avec le Pays basque... Voici-ci-dessous, une partie de "pelote basque" classique (à main nue) : Photo Roger Eléfant 13e élément : La "Svastika". Les Basques ont un emblème très particulier, puisqu’il s’agit de la "Svastika" qui chez eux est "dextrogyre" (ailes tournant à droite). Ce signe se rencontre dans de nombreuses civilisations de par le Monde, mais surtout en Chine (voir entre autre mon article : "L'Atlantide, la Lémurie et les Chinois"). Hitler qui s'intéressait de près aux civilisations passées (notamment à l'Atlantide) apprenant qu'elle était un symbole de chance et de félicité en Atlantide et sur Mu, l'avait utilisée comme emblème pour son parti et l'avait dévoyée en la transformant en "rétrogyre" (ailes tournant à gauche). La "Svastika" basque présentée en photo au début de cet article est d'un type "stylisée". On la trouve curieusement, assez souvent sur les tombes des cimetières basques, alors qu'elle représente ailleurs dans le Monde, un symbole de bonheur, de chance et de félicité. Peut être encore un de ces "souvenirs ataviques", revenus dans les mémoires, pour associer le défunt aux "Grands Anciens", disparus il y a bien longtemps, loin de là dans l'Atlantique et dont ce symbole était le leur... 14e élément : Il est tout de même assez étrange de constater que la ville de Toulouse se situe à relativement peu de distance de la "Basse Navarre" et de la "Soule", et est justement le fief de l'aviation et de l'aérospatiale en France ! ! Cette particularité laisse songeur, quand on constate que Cayce affirmait (dans ses "lectures"), que les Atlantes avaient maîtrisé les transports aériens... D'autre part, il existe dans le "Pays Basque espagnol", précisément dans la province de Guispuzcoa, une ville qui s'appelle justement Tolosa. Donc, on est en droit de penser que le nom de "Toulouse" pourrait être un nom d'origine basque francisé... Donc, une partie des Basques seraient peut-être allés jusqu'à Toulouse ! ! 15e élément : Les Romains appelaient l'Atlantique "Mare Tenebrosum", ce qui signifie "Mer Ténébreuse" ou "Mer des Ténèbres"; nom probablement rapporté par les anciens habitants des lieux sous forme de tradition orale (*). Quand on sait (selon Cayce) ce qui s'est passé sur L'Atlantide avec ses 3 catastrophes et ses dizaines de millions de morts, on peut penser qu'il pourrait bien s'agir d'une appellation à connotation de "drames et de malheurs"... (*) : Il ne faut pas oublier que les Indiens Hopis de l'Arizona rapportent des traditions orales depuis des milliers d'années, et notamment que leurs ancêtres provenaient d'un monde englouti dans un déluge et qui se situait loin à l'Ouest, dans l'Océan. (A l'Ouest : il s'agit à n'en pas douter du continent de Mu !). * * Eléments complémentaires Au Béarn, à moins d'un km de la pointe nord-est de la province basque de "Basse Navarre", près de la ville de Saliès-de-Béarn, sur la commune de Castagnède, existe une colline dont le nom est plus qu'étrange... Il s'agit de la colline de : "Pène-de-Mu". Elle m'a été indiquée par un internaute de la région, lecteur de mon blog. Il m'a demandé ce que j'en pensais... Je lui ai répondu qu'avec un tel "suffixe", je ne serais pas étonné qu'on puisse trouver sur cette colline des substructions (restes de constructions peut-être à peine visibles) sous la verdure, où en tout cas, quelque chose de "spécial" à chercher à cet endroit... Il m'a répondu qu'il irait voir, il y a plusieurs mois de cela..., mais depuis pas de nouvelles ! Alors, je suis allé (dans un premier temps sur Internet) pour voir la configuration des lieux. J'ai constaté qu'à cet endroit il y avait une colline assez haute (143 m), aux pentes plutôt abruptes, ayant la configuration générale d'un oppidum, située au bord d'une rivière; ce qui ne m'a guère étonné ! Au sommet de cette colline, les archéologues ont retrouvé les ruines d'un petit village datant du Moyen-âge et les restes d'une, ou deux églises (avec un doute pour la deuxième). Ce lieu a donc été christianisé et très probablement (comme pratiquement à chaque fois) en remplacement d'un ancien "culte païen". Voici ci-dessous, la partie d'une carte où figure la colline de "Pène-de-Mu" : Alors, à ce stade, je me suis demandé pourquoi cette colline portait ce nom si particulier, rappelant évidemment pour moi le "Continent de Mu" ! D'autant plus, que ce lieu se situait littéralement à la frontière (évidemment fictive) d'un territoire d'émigrés atlantes...! J'ai recherché l'explication du préfixe composé : "Pène-de-". J'ai trouvé qu'il signifiait : que l'on a "de la peine" (à gravir la colline...) en l'occurence de "Mu", car effectivement ses pentes sont tout simplement accentuées. J'ai tenté ensuite d'en savoir plus, du côté des archéologues, mais là, je n'ai rien trouvé (sauf le fait que cette colline avait bien été un camp retranché ou oppidum...). J'ai donc été obligé de donner une explication par moi-même, à cette étrange appellation, en tenant compte du lieu où il se situait. . Ce que j'ai imaginé alors, n'est évidemment qu'une "pure spéculation", mais avec un peu de chance, elle pourrait (peut-être...) n'être pas si éloignée que cela de la vérité, la voici : Je me suis dit, que si ce lieu comportait cet étrange (et très rare) toponyme : le suffixe "Mu", qui à ma connaissance ne veut rien dire de particulier (et j'ai quelques connaissances en toponymie) c'est qu'il devait y avoir une bonne raison à cela ! Alors, j'ai "imaginé", que lors de la dernière période d'émigration des Atlantes, un groupe d'émigrés de Mu, avait pu vouloir rencontrer les émigrés de l'Atlantide au Pays Basque, ayant subi les mêmes difficultés et malheurs qu'eux et voir comment ils avaient pu organiser leur nouveau territoire et leur nouvelle vie... Ils auraient pu aussi, peut-être, vouloir s'installer dans cette région, à proximité des Atlantes nouvellement émigrés, n'étant peut-être pas tout à fait satisfait de leurs conditions d'existence dans les pays d'Extrême Orient (autour du Pacifique), où ils avaient été obligés d'émigrer, suite à la dernière catastrophe de leur continent... Selon Edgar Cayce, et si l'on comprend bien ses "lectures"..., il aurait pu y avoir encore à cette époque des "engins aériens" (peut-être des ballons dirigeables ?) qui auraient pu leur permettre de faire le voyage jusqu'au Pays Basque. Ces deux communautés auraient alors pu se rencontrer sur cette colline, ou le groupe de Muiens se seraient installés temporairement. Cette colline serait alors devenu un lieu sacré, légendaire par la suite, à conserver en mémoire de génération en génération... Je rappelle encore que les Hopis rapportent oralement depuis 12 000 ans environ, dans leurs légendes, la "Terre de Mu", leur continent disparu, loin dans l'Océan, à l'Ouest de l'Amérique ! A titre indicatif, je signale en outre, que j'ai repéré curieusement, à une quinzaine de km environ, pile au Sud de la "Pène-de-Mu", un "lieu-dit" du nom de "Musculdy", donc cette fois avec un préfixe "Mu". C'est tout de même bizarre ! ! Seul, l'avenir dira, si mes spéculations (sur "Pène-de-Mu") étaient quelque peu fondées, ou pas... Conclusion Pour moi, tous les arguments présentés dans la première partie de cet article, ont une nette tendance à démontrer que : les Basques sont bien les descendants des émigrés de l'Atlantide Evidemment, on peut ne pas croire à cette version..., mais alors il faut fermer les yeux sur les nombreux éléments que je présente en faveur de cette hypothèse ! ! * * * Livres ayant un rapport avec les Basques et l’Atlantide : Visions Livre donnant de nombreux détails sur la vie sur ce continent (extraits des "lectures" d'Edgar Cayce) et sur les diverses émigrations, dont celles au Pays Basque. Louis Charpentier s'est penché sur les caractéristiques très particulières des Basques et a fait des rapprochements notamment avec les Guanches et les Berbères qui sont également des Cro-Magnon. AtlHier L'auteur de ce livre est convaincu que les Berbères, les Basques et les Guanches de Ténérife sont des descendants d'Atlantes (ce qui est aussi mon avis). AtlantRevisit Livre sur l'Atlantide du plus grand intérêt, particulièrement pour les lecteurs intéressés par les "lectures" d'Edgar Cayce à ce sujet. Ce livre comporte aussi les passages sur les émigrations au Pays Basque. CayceDoroth Dans "L'Univers d'Edgar Cayce" de Dorothée Koechlin de Bizemont , des chapitres sont consacrés à l'Atlantide sur les tomes I et II, incluant les émigrations au Pays Basque. * * * (Pour la liste complète des articles cliquez ici) CayceAtlantis L'un des meilleurs livres sur l'Atlantide selon Cayce (écrit par son fils) mais il est en anglais ! Ajouter une section ici Options de publication Type Article Page Etat Publié Brouillon Auteur Roger Eléfant Catégories Ajouter une catégorie Date 25/08/2013 14:25 Partager automatiquement Connecter Facebook Connecter Twitter Connecter Linkedin Emailer mes 2 abonnés Autoriser les commentaires Communautés Rejoignez une communauté et augmentez votre visibilité ! Plus d'informations Aperçu Mettre à jour 1

A ce propos, il y a probablement à faire un rapprochement avec les Indiens d'Amérique, qui se teignaient la peau en rouge pour les cérémonies, et que l'on a appelé de ce fait  : "les Peaux-Rouges" ! 

 
Voici ci-dessous, une maison basque typique, dont toutes les boiseries sont peintes en rouge sombre :
 
 
Photo Roger Eléfant
 
Et voici ci-dessous, un café (ou auberge) du côté d'Espelette, avec des boiseries typiquement basques également.
 
 
 
Photo Roger Eléfant
 
 
En outre, il est à remarquer que le drapeau basque comporte "un fond rouge"surmonté d’une croix  verte et d’une croix blanche. 
 
Pour les fêtes publiques, les hommes ont l’habitude de porter des vêtements blancs avec des bérets rouges et des ceintures de flanelle rouges. Les femmes portent des robes blanches avec un corsage rouge.
 
Dans le folklore basque, existe un "génie féminin" très populaire appelé curieusement "Mari" (sans "e"); c'est la reine de tous les génies. Elle a la curieuse aptitude, de se transformer en "vache rouge" ! En outre, elle habite dans l'intérieur de la Terre, dans des endroits qui communiquent avec la surface par des cavernes et des crevasses. (un étrange rappel à la Terre creuse...!?).  
   
D’autre part, et cet élément est très important, car au Pays Basque, on a retrouvé des squelettes de Cro-Magnons saupoudrés justement "d’ocre rouge" !
 
 
12e élément :
 
La Pelote basque est un sport très prisé dans tout le pays, qui se joue de différentes manières, mais le jeu original, se pratique avec une balle assez dure, que les joueurs frappent avec la paume de la main et qu'ils envoient rebondir contre un fronton. Or, à Uxmal au Yucatan, dans les ruines Mayas, on peut voir une aire de jeux de pelote, où se dressent deux frontons se faisant face, à une quinzaine de mètres de distance, afin que la balle rebondisse sur les deux murs. Il semble donc qu'il y a là, un rapprochement avec le Pays basque... 
 
Voici-ci-dessous, une partie de "pelote basque" classique (à main nue) :
 
 
 
 
 
Photo Roger Eléfant
 
 
13e élément :
 
La "Svastika". Les Basques ont un emblème très particulier, puisqu’il s’agit de la "Svastika" qui chez eux est "dextrogyre" (ailes tournant à droite). Ce signe se rencontre dans de nombreuses civilisations de par le Monde, mais surtout en Chine (voir entre autre mon article : "L'Atlantide, la Lémurie et les Chinois"). 
Hitler qui s'intéressait de près aux civilisations passées (notamment à l'Atlantide) apprenant qu'elle était un symbole de chance et de félicité en Atlantide et sur Mu, l'avait utilisée comme emblème pour son parti et l'avait dévoyée en la transformant en "rétrogyre" (ailes tournant à gauche). 
La "Svastika" basque présentée en photo au début de cet article est d'un type "stylisée". On la trouve curieusement, assez souvent sur les tombes des cimetières basques, alors qu'elle représente ailleurs dans le Monde, un symbole de bonheur, de chance et de félicité. Peut être encore un de ces "souvenirs ataviques", revenus dans les mémoires, pour associer le défunt aux "Grands Anciens", disparus il y a bien longtemps, loin de là dans l'Atlantique et dont ce symbole était le leur... 
 
 
14e élément :
 
Il est tout de même assez étrange de constater que la ville de Toulouse se situe à relativement peu de distance de la "Basse Navarre" et de la "Soule", et est justement le fief de l'aviation et de l'aérospatiale en France ! ! Cette particularité laisse songeur, quand on constate que Cayce affirmait (dans ses "lectures"), que les Atlantes avaient maîtrisé les transports aériens... 
 
D'autre part, il existe dans le "Pays Basque espagnol", précisément dans la province de Guispuzcoa, une ville qui s'appelle justement Tolosa. Donc, on est en droit de penser que le nom de "Toulouse" pourrait être un nom d'origine basque francisé... Donc, une partie des Basques seraient peut-être allés jusqu'à Toulouse ! !
 
 
15e élément :
 
Les Romains appelaient l'Atlantique "Mare Tenebrosum", ce qui signifie "Mer Ténébreuse" ou "Mer des Ténèbres"; nom probablement rapporté par les anciens habitants des lieux sous forme de tradition orale (*). Quand on sait (selon Cayce) ce qui s'est passé sur L'Atlantide avec ses 3 catastrophes et ses dizaines de millions de morts, on peut penser qu'il pourrait bien s'agir d'une appellation à connotation de "drames et de malheurs"...  
  
(*) : Il ne faut pas oublier que les Indiens Hopis de l'Arizona rapportent des traditions orales depuis des milliers d'années, et notamment que leurs ancêtres provenaient d'un monde englouti dans un déluge et qui se situait loin à l'Ouest, dans l'Océan. (A l'Ouest : il s'agit à n'en pas douter du continent de Mu !).      
 
 
 
* *
 
 
 
 
 
 

CayceAtlantis

L'un des meilleurs livres sur l'Atlantide selon Cayce (écrit par son fils) mais il est en anglais !          

 
Eléments complémentaires
 
 
 
Au Béarn, à moins d'un km de la pointe nord-est de la province basque de "Basse Navarre", près de la ville de Saliès-de-Béarn, sur la commune de Castagnède, existe une colline dont le nom est plus qu'étrange... Il s'agit de la colline de : "Pène-de-Mu". Elle m'a été indiquée par un internaute de la région, lecteur de mon blog.  
Il m'a demandé ce que j'en pensais... Je lui ai répondu qu'avec un tel "suffixe", je ne serais pas étonné qu'on puisse trouver sur cette colline des substructions (restes de constructions peut-être à peine visibles) sous la verdure, où en tout cas, quelque chose de "spécial" à chercher à cet endroit...
Il m'a répondu qu'il irait voir, il y a plusieurs mois de cela..., mais depuis pas de nouvelles !
  
Alors, je suis allé (dans un premier temps sur Internet) pour voir la configuration des lieux. J'ai constaté qu'à cet endroit il y avait une colline assez haute (143 m), aux pentes plutôt abruptes, ayant la configuration générale d'un oppidum, située au bord d'une rivière; ce qui ne m'a guère étonné ! 
Au sommet de cette colline, les archéologues ont retrouvé les ruines d'un petit village datant du Moyen-âge et les restes d'une, ou deux églises (avec un doute pour la deuxième).  
Ce lieu a donc été christianisé et très probablement (comme pratiquement à chaque fois) en remplacement d'un ancien "culte païen".
 
 
Voici ci-dessous, la partie d'une carte où figure la colline de "Pène-de-Mu" : 
 
 
 
Alors, à ce stade, je me suis demandé pourquoi cette colline portait ce nom si particulier, rappelant évidemment pour moi le "Continent de Mu" ! D'autant plus, que ce lieu se situait littéralement à la frontière (évidemment fictive) d'un territoire d'émigrés atlantes...!
 
J'ai recherché l'explication du préfixe composé : "Pène-de-". J'ai trouvé qu'il signifiait : que l'on a "de la peine" (à gravir la colline...) en l'occurence de "Mu", car effectivement ses pentes sont tout simplement accentuées.
 
J'ai tenté ensuite d'en savoir plus, du côté des archéologues, mais làje n'ai rien trouvé (sauf le fait que cette colline avait bien été un camp retranché ou oppidum...). J'ai donc été obligé de donner une explication par moi-même, à cette étrange appellation, en tenant compte du lieu où il se situait.
Ce que j'ai imaginé alors, n'est évidemment qu'une "pure spéculation", mais avec un peu de chance, elle pourrait (peut-être...) n'être pas si éloignée que cela de la vérité, la voici :
 
Je me suis dit, que si ce lieu comportait cet étrange (et très rare) toponyme : le suffixe "Mu", qui à ma connaissance ne veut rien dire de particulier (et j'ai quelques connaissances en toponymie) c'est qu'il devait y avoir une bonne raison à cela !
 
Alors, j'ai "imaginé", que lors de la dernière période d'émigration des Atlantes, un groupe d'émigrés de Mu, avait pu vouloir rencontrer les émigrés de l'Atlantide au Pays Basque, ayant subi les mêmes difficultés et malheurs qu'eux et voir comment ils avaient pu organiser leur nouveau territoire et leur nouvelle vie... 
 
Ils auraient pu aussi, peut-être, vouloir s'installer dans cette région, à proximité des Atlantes nouvellement émigrés, n'étant peut-être pas tout à fait satisfait de leurs conditions d'existence dans les pays d'Extrême Orient (autour du Pacifique), où ils avaient été obligés d'émigrer, suite à la dernière catastrophe de leur continent...   
 
Selon Edgar Cayce, et si l'on comprend bien ses "lectures"..., il aurait pu y avoir encore à cette époque des "engins aériens" (peut-être des ballons dirigeables ?) qui auraient pu leur permettre de faire le voyage jusqu'au Pays Basque. 
Ces deux communautés auraient alors pu se rencontrer sur cette colline, ou le groupe de Muiens se seraient installés temporairement. Cette colline serait alors devenu un lieu sacré, légendaire par la suite, à conserver en mémoire de génération en génération... 
Je rappelle encore que les Hopis rapportent oralement depuis 12 000 ans environ, dans leurs légendes, la "Terre de Mu", leur continent disparu, loin dans l'Océan, à l'Ouest de l'Amérique !  
 
 
A titre indicatif, je signale en outre, que j'ai repéré curieusement, à une quinzaine de km environ, pile au Sud de la "Pène-de-Mu", un "lieu-dit" du nom de "Musculdy", donc cette fois avec un préfixe "Mu". C'est tout de même bizarre ! !
 
 
Seul, l'avenir dira, si mes spéculations (sur "Pène-de-Mu") étaient quelque peu fondées, ou pas...
 
 
 
Conclusion
 
 
Pour moi, tous les arguments présentés dans la première partie de cet article, ont une nette tendance à démontrer que :
 
 
les Basques sont bien les descendants des émigrés de l'Atlantide
 
 
Evidemment, on peut ne pas croire à cette version..., mais alors il faut fermer les yeux sur les nombreux éléments que je présente en faveur de cette hypothèse ! !
 
 
 
* * *
Livres ayant un rapport avec les Basques et l’Atlantide :
 
 

 

   

Visions

 

Livre donnant de nombreux détails sur la vie sur ce continent (extraits des "lectures" d'Edgar Cayce) et sur les diverses émigrations, dont celles au Pays Basque.  

 
 
 
 
Louis Charpentier s'est penché sur les caractéristiques très particulières des Basques et a fait des rapprochements notamment avec les Guanches et les Berbères qui sont également des Cro-Magnon.

AtlHier

 

L'auteur de ce livre est convaincu que les Berbères, les Basques et les Guanches de Ténérife sont des descendants d'Atlantes (ce qui est aussi mon avis).           

 

AtlantRevisit

 

Livre sur l'Atlantide du plus grand intérêt, particulièrement pour les lecteurs intéressés par les "lectures" d'Edgar Cayce à ce sujet. Ce livre comporte aussi les passages sur les émigrations au Pays Basque.

 
 
 

CayceDoroth

 

Dans "L'Univers d'Edgar Cayce" de Dorothée Koechlin de Bizemont , des chapitres sont consacrés à l'Atlantide sur les tomes I et II, incluant les émigrations au Pays Basque.    

 
 
 
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Roger Eléfant